Étiquette : Auteur bd : Arnaud Delalande

Surcouf – Intégrale

Album publié en 2022 aux éditions Glénat.


Résumé éditeur

La vie du plus célèbre des corsaires enfin en coffret !

Fin du 18e siècle. La Révolution est en marche. Mais l’Angleterre est maîtresse des mers. Le roi de France a recours à des armateurs privés qui offrent à des aventuriers la possibilité de s’enrichir sur le dos de l’ennemi.

Ainsi est créée la course en mer. Un acte officiel, la « lettre de marque », en fixe le cadre légal. Les corsaires ne sont pas des pirates : ils ne peuvent attaquer que des bateaux en guerre avec leur pays, ou transportant des marchandises ennemies.

Or, tandis que la guerre navale se déchaîne, un jeune homme s’apprête à quitter Saint-Malo.

Il deviendra un héros de légende… La terreur des océans et de l’Angleterre… Un symbole de courage, d’audace et d’aventure, … Surcouf !

Et voici qu’un mystérieux journaliste du Times, alors naissant, se lance sur ses traces… Retrouvez pour la première fois cette série placée sous le signe de la grande aventure dans un coffret !


L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Surcouf – Intégrale »

La série de bande dessinée Surcouf, signée Arnaud Delalande et illustrée par Guy Michel, retrace la vie tumultueuse de Robert Surcouf, figure emblématique des corsaires français du XVIIIe siècle. Cette œuvre se distingue par son ambition de conjuguer réalité historique et aventure épique, plongeant le lecteur dans une époque où les mers étaient le théâtre de batailles intenses et où l’honneur se mesurait en prises audacieuses.

L’écriture de Delalande parvient à capturer la dualité de Surcouf, à la fois héros et homme aux prises avec ses contradictions. Loin d’une simple hagiographie, le récit met en lumière les facettes les plus obscures du personnage, notamment son implication dans la traite négrière, ce qui apporte une dimension morale à l’intrigue.

Visuellement, Guy Michel offre une représentation magistrale des batailles navales, où chaque coup de canon et chaque abordage sont rendus avec un souci du détail saisissant. Les navires semblent surgir des pages, ancrant le lecteur dans la violence et la beauté du combat maritime. Les couleurs, souvent sombres, renforcent l’atmosphère dramatique de ces affrontements.

Le rythme de la série peut parfois paraître inégal. Si les scènes d’action sont époustouflantes, certains passages plus introspectifs ralentissent le récit, créant un contraste qui pourrait dérouter certains lecteurs. Malgré cela, Surcouf reste une fresque captivante qui mêle habilement histoire et fiction, offrant un portrait fascinant de l’un des derniers grands corsaires français.

Surcouf s’impose comme une œuvre riche, tant par son contenu historique que par sa réalisation graphique, une lecture incontournable pour les amateurs d’aventures maritimes et de récits complexes



Lieu visité par la bd en Bretagne

Saint-Malo

Surcouf – Tome 4 – Par-delà toutes les mers

Album publié en 2021 aux éditions Glénat.


Résumé éditeur

Conclusion d’une grande saga d’aventure !

couverture bd Surcouf - Tome 4 - Par-delà toutes les mers

1801. À la faveur d’une trêve avec les Anglais, Surcouf et son équipage sont de retour en France.

Le corsaire profite de cette accalmie pour demander la main de sa belle Manon et se dit qu’il serait peut-être temps de fonder une famille, à l’abri des combats.

Mais les hommes étant ce qu’ils sont, la guerre ne tarde pas à être de nouveau déclarée…

S’il décline l’offre de Napoléon de commander l’une de ses flottilles, Surcouf compte bien continuer à servir son pays sur les mers.

Et pour son grand retour, le Tigre des mers prépare les plans d’un nouveau navire redoutable : Le Revenant.

Arnaud Delalande, Erick Surcouf – le propre descendant du corsaire – et Guy Michel concluent en beauté cette série placée sous le signe de la grande aventure, nous contant en BD le destin romanesque de ce personnage hors du commun.


L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Surcouf – Tome 4 – Par-delà toutes les mers »

« Surcouf – Tome 4 : Par-delà toutes les mers » clôt magistralement la série dédiée à l’un des corsaires les plus audacieux de l’histoire maritime française. Ce quatrième opus, orchestré par le duo Delalande et Surcouf, et magnifiquement illustré par Guy Michel, réunit tous les ingrédients d’une aventure épique tout en offrant une profondeur narrative appréciable.

Le scénario nous plonge au cœur des dilemmes de Robert Surcouf, tiraillé entre son désir de paix et son devoir envers la nation. Le retour en France du héros, qui retrouve son amour, Manon, est un rare moment de répit avant que la guerre ne reprenne ses droits. Le choix de refuser une proposition de Napoléon pour continuer à naviguer sur les mers témoigne de l’indépendance farouche de Surcouf, tout en ajoutant une tension narrative captivante.

extrait bd Surcouf - Tome 4 - Par-delà toutes les mers

Les illustrations de Guy Michel sont un atout majeur de cet album. Les scènes de bataille navale, vibrantes et minutieusement détaillées, transportent le lecteur au cœur des affrontements, rendant palpable l’intensité des combats. Les décors, notamment les représentations des navires, ajoutent une dimension visuelle qui renforce l’immersion.

Ce dernier tome ne se contente pas de boucler une histoire ; il approfondit la personnalité du corsaire, révélant un homme partagé entre son amour pour la mer et sa quête de stabilité. En dépit de quelques longueurs narratives, « Surcouf – Tome 4 : Par-delà toutes les mers » parvient à maintenir l’attention du lecteur jusqu’à la dernière page, concluant la saga sur une note à la fois héroïque et mélancolique.

Une fin grandiose pour une série qui restera marquante dans l’univers de la bande dessinée historique


Surcouf – Tome 04

Lieu visité par la bd en Bretagne

Saint-Malo

Surcouf – Tome 3 – Le roi des corsaires

Album publié en 2015 aux éditions Glénat.


Résumé éditeur

La vie du plus célèbre des corsaires !

couverture bd Surcouf - Tome 3 - Le roi des corsaires

Jonas Wigg, l’espion anglais à l’origine chargé de tuer Surcouf, fait à présent partie de l’équipage du célèbre corsaire malouin.

Grisé par le goût de l’aventure, il a décidé de se joindre aux campagnes de ces hommes fiers et nobles qui fendent la mer au mépris du danger, n’hésitant pas à affronter des frégates parfois dix fois plus armées que les leurs.

Il se révèle même une recrue de choix contre ses propres compatriotes…

Entre souvenirs de poursuites insensées au milieu des récifs, batailles navales grandioses et tempêtes mortelles, suivez les exploits du Tigre des mers et de son équipage !

Arnaud Delalande, Erick Surcouf – le propre descendant du corsaire – et Guy Michel continuent de nous conter en BD le destin romanesque de ce personnage qui a pourtant bel et bien existé. Une série placée sous le signe de la grande aventure en 4 tomes.


L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Surcouf – Tome 3 – Le roi des corsaires »

Dans Surcouf – Tome 3 : Le roi des corsaires, le tandem d’auteurs Arnaud Delalande et Erick Surcouf nous plonge une fois de plus dans l’épopée tumultueuse de Robert Surcouf, le célèbre corsaire malouin. Ce troisième volume, illustré avec maestria par Guy Michel, nous entraîne au cœur d’une aventure historique palpitante, où le fracas des vagues rivalise avec celui des canons.

L’intrigue se situe au début du XIXe siècle, alors que Surcouf, auréolé de ses précédents succès, prend le commandement de « La Confiance », une frégate qui deviendra son outil de prédilection pour harceler les navires britanniques. L’accent est mis sur l’habile stratégie maritime de Surcouf, combinant audace et intelligence, et sur les tensions croissantes entre les forces françaises et britanniques. Jonas Wiggs, personnage fictif et ancien espion anglais, s’impose comme un narrateur indispensable, offrant une perspective interne sur les intrigues et manœuvres corsaires.

Le talent de Guy Michel se manifeste pleinement dans les scènes de combat, où l’on ressent presque physiquement les chocs des abordages et l’odeur de la poudre. Les dessins, d’une précision époustouflante, transforment chaque vignette en une immersion totale dans l’univers maritime du début du XIXe siècle.

Ce tome, marqué par une intensité narrative et visuelle remarquable, parvient à capturer l’esprit d’aventure tout en restant fidèle aux faits historiques. Il s’agit d’une œuvre incontournable pour les passionnés d’histoire maritime et les amateurs de récits d’aventure bien ficelés, qui ne manqueront pas de suivre avec impatience les dernières péripéties du « Tigre des Mers« ​


Surcouf – Tome 03

Lieu visité par la bd en Bretagne

Saint-Malo

Surcouf – Tome 2 – Le tigre des mers

Album publié en 2015 aux éditions Glénat.


Résumé éditeur

La vie du plus célèbre des corsaires !

De l’Île de France aux Seychelles, de Cantaye, dans l’archipel de la Sonde, au large de Saint-Paul, Surcouf revient… Et continue de tisser sa légende !

Vainqueur du Triton, le voilà de retour à Port-Louis, où il fait la connaissance de l’espion anglais chargé de le tuer, Jonas Wiggs…
Entre souvenirs de poursuites insensées au milieu des récifs, batailles navales et procès à Paris, Surcouf passe au milieu des cyclones.

Il épouse Manon à Saint-Malo avant de faire revenir front sur toutes les mers. À bord de la Clarisse et de la Confiance navigant avec son propre frère, il continue de rendre folle l’amirauté anglaise, qui enrage et jette contre lui tous ses feux. 

Mais voici que la main de l’espion tremble… Jonas Wiggs ira-t-il au bout de sa mission ? Tuera-t-il dans son sommeil le roi des corsaires ? Sans doute…
À moins que le destin n’en décide autrement ! Hissez les voiles ! Et attention ! Le Tigre des Mers s’est réveillé…


L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Surcouf – Tome 2 – Le tigre des mers »

Surcouf – Tome 2 : Le tigre des mers est un récit palpitant qui s’ancre dans l’histoire fascinante du corsaire Robert Surcouf, tout en réussissant à capturer l’intensité des batailles maritimes du XVIIIe siècle.

Ce deuxième tome poursuit l’intrigue amorcée dans le premier, en plaçant Jonas Wiggs, espion anglais, au cœur d’un dilemme moral alors qu’il doit assassiner Surcouf, devenu une véritable légende vivante.

Les scénaristes, Arnaud Delalande et Erick Surcouf, petit-fils du corsaire, tissent une narration riche en rebondissements et en suspense. Le lecteur est emporté par le récit à travers des flashbacks bien intégrés qui révèlent la complexité du personnage principal, tantôt stratège impitoyable, tantôt homme d’honneur. Cette dimension humaine, associée à une restitution fidèle des faits historiques, confère au récit une profondeur indéniable.

Le dessinateur Guy Michel, quant à lui, sublime le texte par un graphisme d’une grande précision. Ses représentations des navires, magnifiquement détaillées, et ses scènes d’affrontements navals sont à couper le souffle. La dynamique visuelle créée par Guy Michel renforce le caractère épique du récit et plonge le lecteur au cœur des tempêtes et des combats, rendant palpable la tension des moments décisifs.

Surcouf – Tome 2 : Le tigre des mers est bien plus qu’une simple bande dessinée historique ; c’est une plongée immersive dans l’univers tumultueux de la piraterie, servie par un scénario solide et un art graphique d’une grande maîtrise. Ce tome confirme le talent de ses auteurs à faire revivre une figure emblématique de l’histoire maritime française.


Surcouf – Tome 02 NE

Lieu visité par la bd en Bretagne

Saint-Malo

Le dernier témoin d’Oradour-sur-Glane

Album publié en 2024 aux éditions HarperCollins.


Résumé éditeur

couverture bd Le dernier témoin d'Oradour-sur-Glane

10 juin 1944.

Robert Hébras a 18 ans lorsque la division blindée Das Reich de la Waffen-SS investit le paisible village de Haute-Vienne, Oradour-sur-Glane.

Les soldats descendent de leur camion, réunissent la population sur la place centrale. Les hommes sont parqués dans les granges, les femmes et les enfants dans l’église.

Pour le jeune Robert, c’est la grange Laudy, avec une soixantaine d’otages. Après une heure d’attente, la fusillade éclate. L’apprenti mécanicien survit.

Il apprend la mort de sa mère et de deux de ses sœurs, Georgette et Denise, brûlées dans l’église.

Ce jour-là, les Allemands commettent alors le plus grand massacre de civils de la Seconde Guerre mondiale : 643 morts, dont plus de 450 femmes et enfants.

Dans cet album bouleversant, Arnaud Delalande et Laurent Bidot, mettent en images avec pudeur et puissance, avec la complicité d’Agathe Hébras, devenue gardienne de la mémoire, l’histoire de son grand-père, de celle du village-martyr et d’une nation tout entière. Pour ne jamais oublier.


L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Le dernier témoin d’Oradour-sur-Glane »

Le Dernier Témoin d’Oradour-sur-Glane, adapté en bande dessinée par Arnaud Delalande et Laurent Bidot, se présente comme un puissant rappel du massacre d’Oradour-sur-Glane le 10 juin 1944.

Ce récit, centré sur le témoignage de Robert Hébras, dernier survivant du drame, se distingue par sa capacité à allier pudeur et impact émotionnel.

Le massacre, orchestré par la division blindée Das Reich de la Waffen-SS, a coûté la vie à 643 civils, dont la majorité étaient des femmes et des enfants. En retraçant les événements à travers les yeux de Robert Hébras, la bande dessinée ne se contente pas de rappeler une tragédie historique mais rend aussi un hommage poignant à la mémoire des victimes.

extrait bd Le dernier témoin d'Oradour-sur-Glane

Les illustrations de Laurent Bidot, sobres et évocatrices, soutiennent parfaitement le texte. L’option stylistique adoptée, loin de tomber dans le sensationnalisme, reste fidèle à la gravité des faits, permettant au lecteur de ressentir l’horreur sans être submergé par des détails graphiques. Les couleurs sombres et les lignes épurées renforcent la dimension tragique du récit.

Le scénario de Delalande et Bidot juxtapose habilement les scènes de l’époque avec celles du présent, où Robert Hébras et sa petite-fille Agathe visitent les ruines du village. Ce contraste met en lumière non seulement le poids du passé mais aussi l’importance du devoir de mémoire.

L’ouvrage s’illustre par sa qualité narrative mais aussi par son engagement pédagogique, enrichi d’un dossier historique. Il s’adresse à tous, jeunes et moins jeunes, pour rappeler l’importance de ne jamais oublier cette tragédie.

Le Dernier Témoin d’Oradour-sur-Glane est un remarquable effort pour préserver la mémoire collective et enseigner les leçons du passé.



Lieu visité par la bd pendant la Seconde Guerre Mondiale

Oradour-sur-Glane

Le Cas Alan Turing

Bande dessinée publiée aux éditions Les Arènes en 2015.


Homme d’exception, Alan Turing a su percer tous les codes secrets, sauf un seul : le sien.

couverture bd Le Cas Alan Turing

Londres, 1938. Les services secrets britanniques recrutent un jeune et brillant chercheur en mathématiques : Alan Turing.

Sa mission : déchiffrer les codes de l’Enigma, la machine qui permet de transmettre les instructions du Führer à ses troupes. Toutes les tentatives de décryptage ont échoué jusque-là.

C’est le plus grand défi de la vie d’Alan Turing. Un bras de fer scientifique inouï.
Dans le secret le plus total, il s’attelle à la tâche. Et réussit.

En cassant le code Enigma, Turing donne un avantage décisif aux Alliés et jette les bases de la révolution informatique.

Son succès aurait dû le mener au faîte de la gloire, mais il doit se cacher et rester dans l’ombre.

Dans l’Angleterre puritaine, son homosexualité est une marque d’infamie. La justice le condamne à la castration chimique. Le 7 juin 1954, c’est un homme seul et désespéré qui met fin à ses jours en croquant une pomme empoisonnée.


L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Le Cas Alan Turing »

Dans « Le cas Alan Turing« , Arnaud Delalande et Éric Liberge nous offrent une plongée captivante dans la vie du mathématicien britannique, père fondateur de l’informatique moderne. L’œuvre, qui allie avec brio vulgarisation scientifique et récit biographique, est une réussite sur bien des aspects.

Le scénario, solide et bien construit, rend accessible la vie et les travaux complexes de Turing, sans pour autant tomber dans la simplification excessive. Delalande parvient à équilibrer habilement les aspects scientifiques et les aspects plus intimes de la vie de Turing, notamment sa persécution en raison de son homosexualité. Le récit, rythmé et prenant, tient le lecteur en haleine de la première à la dernière page.

Les dessins d’Éric Liberge, quant à eux, sont plus clivants. On appréciera le style sombre et expressionniste de l’artiste, qui apporte une profondeur et une intensité au récit. Force est de constater que les dessins contribuent indéniablement à l’atmosphère particulière du récit.

extrait Le Cas Alan Turing

« Le cas Alan Turing » est une œuvre engagée, qui dénonce avec force les persécutions subies par Turing en raison de son homosexualité, et plus largement, l’intolérance et la discrimination. Le propos, fort et actuel, résonne particulièrement dans notre société contemporaine.

« Le cas Alan Turing » est une bande dessinée instructive et engagée, qui séduit par son scénario solide et son propos fort. Bien que les dessins puissent diviser, ils contribuent indéniablement à l’atmosphère particulière du récit.

Une œuvre à découvrir, donc, que l’on s’intéresse à la science, à l’histoire, ou simplement à la défense des droits humains.

Surcouf – Tome 1 – La naissance d’une légende

Album publié en 2015 aux éditions Glénat.


Résumé éditeur

La vie du plus célèbre des corsaires !

couverture bd Surcouf - Tome 1 - La naissance d'une légende

Fin du 18e siècle. La Révolution est en marche. Mais l’Angleterre est  maîtresse des mers.

Le roi de France a recours à des armateurs privés qui offrent à des aventuriers la possibilité de s’enrichir sur le dos de l’ennemi.

Ainsi est créée la course en mer. Un acte officiel, la « lettre de marque », en fixe le cadre légal.

Les corsaires ne sont pas des pirates : ils ne peuvent attaquer que des bateaux en guerre avec leur pays, ou transportant des marchandises ennemies.

Or, tandis que la guerre navale se déchaîne, un jeune homme s’apprête à quitter Saint-Malo. Il deviendra un héros de légende…

La terreur des océans et de l’Angleterre… Un symbole de courage, d’audace et d’aventure, dont le nom claque comme une voile au vent…

Surcouf ! Le Tigre des Mers ! Le futur « roi des corsaires » ! Et voici qu’un mystérieux journaliste du Times, alors naissant, se lance sur ses traces…


L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Surcouf – Tome 1 – La naissance d’une légende »

Surcouf – Tome 1 : La naissance d’une légende est une bande dessinée qui mêle habilement histoire et aventure, plongeant le lecteur dans la vie tumultueuse de Robert Surcouf, figure emblématique de la piraterie française.

Sous la plume d’Arnaud Delalande et Erick Surcouf, et avec les illustrations dynamiques de Guy Michel, l’œuvre retrace les jeunes années de ce célèbre corsaire, explorant ses premières expériences en mer qui l’ont mené à devenir le « roi des corsaires ».

Ce premier tome, structuré autour des témoignages fictifs de compagnons de route de Surcouf, capte rapidement l’attention par son rythme soutenu et ses scènes d’action soigneusement orchestrées. La narration, vue à travers les yeux d’un journaliste anglais, apporte un angle original. Cette approche confère au récit une profondeur historique qui enrichit l’intrigue sans la surcharger.

Les dessins de Guy Michel, soutenus par les couleurs de Simon Quemener, offrent une immersion saisissante dans l’univers maritime du XVIIIe siècle. Les scènes de bataille, notamment, sont particulièrement vivantes, capturant l’intensité et la dangerosité des combats en mer.

Pour ceux qui apprécient les récits d’aventure historique, Surcouf – Tome 1 : La naissance d’une légende demeure un ouvrage captivant, promettant une suite à la hauteur des exploits de son héros.

Cette bande dessinée pose les bases d’une saga prometteuse, ancrée dans une réalité historique fascinante, tout en offrant une lecture divertissante et visuellement plaisante.


Surcouf – Tome 01 NE

Lieu visité par la bd en Bretagne

Saint-Malo