Étiquette : 2024

Invisible enemy

Album publié en 2024 aux éditions Paquet.


Résumé éditeur

Les pilotes de chasse « Puma » de la 101e Escadre Aérienne des forces de défense hongroises patrouillent régulièrement les cieux dans leur mission de défense de l’espace aérien de l’OTAN. 

En 1990, cette unité fut nommée ainsi en hommage à Dezso Szentgyorgyi, le plus grand as hongrois de la seconde guerre mondiale.

Tout comme de nombreux autres pilotes qui, comme lui, ne quittèrent pas leur pays après la guerre, il dut cacher son passé pendant des décennies, réduit au silence par le régime au pouvoir.

Ce fut fait de façon si efficace que souvent, ils restèrent des inconnus aux yeux de leurs propres familles. 

Ils combattirent pour leur nation, et pourtant devinrent des parias…


L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Invisible enemy »

La BD sortira le 11 septembre 2024. Un avis sera posté quand la BD sera lue.


Lieu visité par la bd pendant la Seconde Guerre Mondiale

Koursk

Don Juan – Tome 2 – L’invité de pierre

Album publié en 2024 aux éditions Glénat.


Résumé éditeur

Adapté de l’œuvre de Tirso de Molina parue en 1630.

Quand la justice divine frappe à notre porte…

couverture bd Don Juan - Tome 2 - L'invité de pierre

Don Juan est un séducteur sans scrupules, qui aime faire souffrir sans autre motif que le plaisir de faire le mal.

Désormais à Séville, il blesse le père de Dona Ana, qui tentait de défendre l’honneur de sa fille, puis s’enfuit in extremis vers Dos Hermanas en compagnie de son serviteur, Catalinon.

Une fois sur place, il ne peut s’empêcher de séduire la belle Aminta, sur le point de se marier… Mais un soir, Don Juan reçoit une visite terrifiante.

Le père défunt de Dona Ana s’avance vers lui sous la forme d’une statue de pierre, pour demander au félon d’honorer un ultime rendez-vous !

Imbu de lui-même, Don Juan accepte l’invitation du revenant, car il se moque tout autant de la justice des hommes que d’une sanction divine. La sentence de Dieu ne tardera cependant pas à frapper d’une main vengeresse…

De Molière à Richard Strauss, en passant par Mozart, Pouchkine et d’autres, la figure de Don Juan a traversé les siècles. Sous la direction de Luc Ferry, le mythe renaît en revenant à la pièce originelle de Tirso de Molina, jouée sur scène dès 1630, et nous fait découvrir toute la complexité perfide et démoniaque de ce personnage de légende.


L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Don Juan – Tome 2 – L’invité de pierre »

Dans Don Juan – Tome 2 : L’Invité de Pierre, Didier Poli et son équipe réussissent un tour de force en revisitant l’un des mythes les plus emblématiques de la littérature européenne. Cette bande dessinée nous plonge au cœur des tourments de Don Juan, ce séducteur impénitent, qui ici, semble marcher inexorablement vers son destin tragique.

Le récit, imprégné d’une atmosphère pesante et quasi mystique, suit Don Juan alors qu’il continue de défier les lois divines et humaines. Le père défunt de Dona Ana, prenant la forme d’une statue de pierre, incarne cette menace surnaturelle qui pèse sur lui, rendant l’intrigue à la fois captivante et angoissante.

Les dessins de Diego Oddi magnifient cette tension, avec un style qui allie réalisme et un usage habile des ombres, renforçant l’idée d’une condamnation inéluctable.

Sous la plume de Clotilde Bruneau, les dialogues sont percutants et reflètent avec justesse la dualité du personnage principal, à la fois charmeur et profondément immoral. La mise en scène de Luc Ferry, quant à elle, apporte une dimension philosophique qui questionne sur les notions de libre-arbitre et de fatalité.

Le rythme du récit peut sembler déconcertant par moment, laissant peu de répit au lecteur. Cette densité narrative, bien que fidèle à la tragédie classique, pourrait dérouter les amateurs de BD plus conventionnelles.

Don Juan – Tome 2 : L’Invité de Pierre se révèle ainsi comme une œuvre dense et stimulante, qui respecte et renouvelle le mythe de Don Juan avec brio.


Don Juan – Tome 02

Les Jours les plus longs

Album publié en 2024 aux éditions du Ouest-France.


Résumé éditeur

couverture bd Les Jours les plus longs

Que font ces six personnages le 7 mai 1943 ? Que fait Alice, petite Caennaise amoureuse qui vit sous l’occupation allemande et qui accompagne son petit ami qui part se cacher pour échapper au STO ?

Que fait Ben, ce jeune anglais désœuvré mais patriote qui part s’engager dans la 6e division aéroportée britannique ?

Que fait Rudyard, jeune officier de marine canadien qui surveille les convois dans l’atlantique à bord d’un destroyer ?

Vito, lui, combat l’Afrika Korps en Afrique du Nord dans la 1re division d’infanterie américaine : ce baptême du feu pour les Yankees ne sera pas le dernier …

Sur le front de l’Est, le lieutenant Von Diest, nazi convaincu, est mis hors de combat par les Russes, tandis qu’Eugen, antinazi, surveille le mur de l’atlantique en Norvège avant d’être rapatrié sur la Normandie
Six dates clefs comme autant d’instantanés pour raconter la guerre de ces 6 destins qui vont tous se retrouver en Normandie dans le paroxysme d’une bataille qui verra la libération de l’Europe de l’Ouest…


L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Les Jours les plus longs »

« Les Jours les plus longs » de Benoît Rondeau, magnifiquement illustré par Nicolas Biberon, est une fresque historique poignante qui plonge le lecteur au cœur de la Seconde Guerre mondiale. À travers six personnages aux parcours variés, l’œuvre dépeint avec une grande précision les complexités de ce conflit global.

Chaque protagoniste incarne une facette distincte de la guerre : Alice, jeune Caennaise, et Ben, soldat anglais, symbolisent l’engagement et la résistance. Vito, combattant américain en Afrique du Nord, et Rudyard, officier canadien, illustrent la diversité des fronts. Les soldats allemands Eugene et Von Diest offrent une perspective contrastée sur le nazisme.

On peut saluer la rigueur historique de Rondeau et l’impact visuel des illustrations de Biberon. Les scènes de bataille sont décrites avec une intensité saisissante, tandis que les moments d’intimité révèlent la profondeur émotionnelle des personnages. Ce mélange de faits et de fiction rend « Les Jours les plus longs » à la fois éducatif et captivant.

Cette bande dessinée est une réussite, offrant une exploration nuancée de la guerre à travers des récits personnels touchants et authentiques.

Une lecture indispensable pour les passionnés d’histoire et de bande dessinée

Elle s’appelait Sarah

Albums publiés en 2007 aux éditions Marabout.


Résumé éditeur

Adaptation du roman de Tatiana de Rosnay publié pour la première fois en 2007.

Deux histoires se déroulent en parallèle : celle de Julia américaine qui vit à Paris, en 2000, avec son mari Bertrand et sa fille Zoë et celle de Sarah déportée avec son père et sa mère, en 1942 lors de la rafle du Vel’ D’Hiv’. Les deux récits se rejoignent malgré les années qui les séparent.

couverture bd Elle s'appelait Sarah

Paris, juillet 1942 : Sarah, une fillette de dix ans qui porte l’étoile jaune, est arrêtée avec ses parents par la police française, au milieu de la nuit. Paniquée, elle met son petit frère à l’abri en lui promettant de revenir le libérer dès que possible.
Paris, mai 2002 : Julia Jarmond, une journaliste américaine mariée à un Français, doit couvrir la commémoration de la rafle du Vél d’Hiv.

Soixante ans après, son chemin va croiser celui de Sarah, et sa vie va changer à jamais.
Elle s’appelait Sarah, est l’histoire de deux familles que lie un terrible secret, c’est aussi l’évocation d’une des pages les plus sombres de l’Occupation.

Le roman de Tatiana de Rosnay est porté par le souffle de Pascal Bresson et revit sous la délicatesse des dessins de Horne.


L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Elle s’appelait Sarah »

« Elle s’appelait Sarah« , adaptée du roman de Tatiana de Rosnay, est une œuvre graphique puissante qui transcende les époques pour évoquer la tragédie de la rafle du Vél d’Hiv.

Pascal Bresson, au scénario, et Horne, à l’illustration, forment un duo harmonieux qui réussit à capturer la profondeur émotionnelle et historique du récit original.

Le récit, divisé entre les années 1942 et 2002, juxtapose la douleur d’une enfant juive, Sarah, arrachée à sa famille, et la quête de vérité d’une journaliste américaine, Julia Jarmond, soixante ans plus tard. Cette structure narrative parallèle, magistralement mise en page, souligne la persistance des blessures du passé et leur résonance dans le présent.

Les dessins de Horne sont délicats et expressifs, offrant une visualisation poignante des événements traumatiques. Les scènes de la rafle sont particulièrement marquantes, empreintes de réalisme et d’émotion, rendant hommage aux victimes avec une sensibilité remarquable.

Pascal Bresson réussit à adapter le texte de manière fluide, préservant l’intensité dramatique et la profondeur des personnages. L’œuvre ne se contente pas de narrer l’horreur, elle incite à la réflexion sur la mémoire et l’importance de transmettre l’histoire.

« Elle s’appelait Sarah » est une bande dessinée émouvante, qui conjugue avec brio histoire et émotion.

Une lecture incontournable pour les amateurs de romans graphiques historiques.

Raconte-moi l’Antiquité en BD

Bande dessinée publiée en 2024 aux éditions Bayard.


couverture bd Raconte-moi l'Antiquité en BD

L’Antiquité en BD : une entrée dans la lecture et dans l’histoire dès 6 ans.

48 pages de BD, grandes illustrations et info documentaires illustrées pour raconter des civilisations antiques à hauteur d’enfant.

La Grèce et les premiers jeux olympiques, l’antique Rome, la vie des Gaulois et l’épopée de Jules César… des histoires passionnantes qui racontent la grande histoire.


L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Raconte-moi l’Antiquité en BD »

La bd sortira début septembre 2024.

Oliver Twist en BD

Album publié en 2024 aux éditions Glénat.


Résumé éditeur

Adapté de l’œuvre de Charles Dickens publiée en 1837.

Le chef-d’œuvre de Charles Dickens en bande dessinée !

Après la disparition de sa mère, le jeune Oliver Twist est élevé dans un orphelinat dont il est chassé pour avoir osé demander une ration supplémentaire de gruau.

Il trouve un travail comme apprenti auprès d’un croque-mort, mais devenu le souffre-douleur de son maître, il préfère s’enfuir. Il finit par gagner Londres où, recueilli dans la rue par une bande de jeunes voleurs travaillant pour le vieux Fagin, Oliver découvre un monde cruel où seule compte la ruse.

Mais bientôt sa rencontre avec Monsieur Brownlow lui fait entrevoir des jours meilleurs.


L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Oliver Twist en BD »

Philippe Chanoinat et David Cerqueira, à travers leur adaptation en bande dessinée d’Oliver Twist, offrent une relecture fidèle et captivante du chef-d’œuvre de Charles Dickens.

Le scénario reste fidèle aux grands axes narratifs du roman, nous replongeant dans l’univers impitoyable de l’Angleterre victorienne, où l’orphelin Oliver lutte pour survivre.

Le talent de Chanoinat pour la narration et le dessin expressif de Cerqueira fusionnent harmonieusement pour recréer les scènes poignantes et les personnages emblématiques, tels que Fagin et Le Renard. On ne peut que louer particulièrement la capacité de l’œuvre à condenser les multiples rebondissements du récit original sans en altérer l’impact émotionnel.

Les illustrations, souvent sombres et intenses, capturent parfaitement l’atmosphère lugubre des bas-fonds londoniens et les moments de tension extrême. Chaque page est une invitation à explorer davantage l’histoire d’Oliver, chaque coup de crayon soulignant la dure réalité de sa condition tout en offrant des moments de pure beauté graphique.

La complexité du roman de Dickens impose des concessions, et certaines nuances de l’intrigue et des personnages peuvent sembler simplifiées pour s’adapter au format de la bande dessinée. Néanmoins, cette adaptation parvient à rendre hommage au texte original tout en étant accessible à un public moderne, jeune et adulte.

Cette version illustrée d’Oliver Twist est une réussite qui mérite l’attention tant des amateurs de bandes dessinées que des admirateurs de Dickens, offrant une porte d’entrée attrayante vers un classique intemporel.

Un Conte de Noël en BD

Album publié en 2024 aux éditions Glénat.


Résumé éditeur

Adapté de l’œuvre de Charles Dickens publiée le 19 décembre 1843.

extrait bd Un Conte de Noël

Le chef-d’œuvre de Charles Dickens en bande dessinée !

Ebenezer Scrooge est un vieillard avare, grincheux et acariâtre. Sans-cœur, l’argent est le seul bonheur de sa vie jusqu’à l’arrivée de Tiny Tim et des apparitions des trois esprits qui vont transformer son existence !

Cette nuit-là, il doit faire face à son passé, son présent et son avenir, découvrant la bonté et le vrai sens de Noël.

Chacun des trois fantômes va lui faire revivre un moment de sa vie et le convaincre de se consacrer aux autres pour trouver la paix. La magie de Noël opère et un cruel grippe-sou se mue en homme généreux…


L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Un Conte de Noël en BD »

« Un Conte de Noël » de Patrice Buendia, adapté du chef-d’œuvre de Charles Dickens, se révèle être une bande dessinée qui capte admirablement l’esprit du texte original. Sous le pinceau précis d’Éric Stalner, les illustrations prennent vie, plongeant le lecteur dans l’atmosphère envoûtante de l’époque victorienne.

La transformation d’Ebenezer Scrooge est dépeinte avec une finesse remarquable, chaque scène illustrant parfaitement le voyage émotionnel du personnage principal.

La narration de Buendia reste fidèle à l’œuvre de Dickens, ce qui permet aux lecteurs de redécouvrir cette histoire intemporelle avec une fraîcheur renouvelée. La visite des trois esprits, chacun représentant une facette différente de la vie de Scrooge, est rendue avec une clarté narrative qui fait honneur au texte original. La manière dont Buendia et Stalner parviennent à traduire en images les thèmes complexes de rédemption et de compassion est particulièrement louée.

extrait Un Conte de Noël en BD

On peut trouver que l’adaptation graphique, bien que visuellement captivante, manque parfois de profondeur dans les décors, ce qui peut légèrement diminuer l’immersion. Malgré ce léger bémol, la magie de Noël opère pleinement, et la bande dessinée réussit à véhiculer le message universel de bonté et de générosité de Dickens.

« Un Conte de Noël » par Buendia et Stalner est une œuvre qui ravira non seulement les amateurs de Dickens, mais aussi tous ceux qui apprécient les adaptations littéraires en bande dessinée. C’est une lecture incontournable pour la période des fêtes, rappelant avec beauté et émotion l’importance de la bienveillance et de la transformation personnelle.

Nostromo – Premier livre

Album publié en 2024 aux éditions Futuropolis.


Résumé éditeur

Adapté de l’œuvre de Joseph Conrad publiée en 1904.

couverture bd Nostromo - Premier livre

Épique, héroïque et sombre : l’action se passe au XIXe siècle, dans un pays fictif d’Amérique du Sud, le Costaguana.

Le nœud de l’histoire se situe autour de la réussite ou de l’échec de la tentative de sécession de Sulaco : cette petite ville portuaire du Costaguana, jusqu’alors épargnée par les troubles, tient sa prospérité et sa relative indépendance de sa situation géographique bien abritée et surtout de la mine d’argent de San Tomé. Cette mine est gérée par Charles Gould, le « roi de Sulaco ».


Dans ce Costaguana régulièrement agité de soubresauts révolutionnaires, deux généraux putschistes, les frères Montero, provoquent une guerre larvée contre le gouvernement légal du président Ribiera, fidèle ami de Charles Gould.

Les notables de Sulaco, craignant de devoir passer sous la coupe de ces généraux brutaux, décident d’envoyer des troupes pour soutenir le parti ribiériste et de mettre l’argent de la mine à l’abri… Ils confient les lingots d’argent au seul homme en qui ils ont confiance : Nostromo, un marin italien devenu le Capataz de Cargadores, c’est-à-dire le chef des dockers de Sulaco…

Un grand texte adapté : Maël (Notre Mère la guerre – 4 tomes et plus de 100 000 ex) adapte en bande dessinée le chef-d’œuvre méconnu de Joseph Conrad, dont on commémore cette année le centenaire de la mort.


L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Nostromo – Premier livre »

Maël, connu pour son talent de conteur visuel, s’aventure dans un terrain ambitieux avec l’adaptation de Nostromo, l’un des chefs-d’œuvre de Joseph Conrad. Transposer un récit aussi dense et riche en une bande dessinée est un défi que Maël relève avec une maîtrise remarquable.

Le choix de concentrer l’histoire sur les aspects politiques et humains du roman permet de maintenir une intrigue captivante tout en respectant la complexité des personnages de Conrad. Nostromo, ce personnage à la fois charismatique et tourmenté, se révèle dans toute sa profondeur, tandis que le contexte de révolution et de sécession apporte une tension palpable qui soutient le récit.

extrait bd Nostromo - Premier livre

Graphiquement, Maël réussit à créer une atmosphère lourde et immersive. Les dessins, avec leurs nuances de gris et leurs touches de couleurs subtiles, renforcent l’aspect dramatique du récit. Chaque case est travaillée avec soin, chaque expression et chaque paysage participant à la narration de manière significative.

La complexité de l’œuvre originale n’est pas totalement effacée, ce qui pourrait rendre la lecture exigeante pour ceux qui ne sont pas familiers avec l’univers de Conrad. Nostromo se présente comme une adaptation brillante, offrant une nouvelle dimension à un texte littéraire qui, par sa nature même, défie les formats traditionnels.

Maël signe ici une œuvre visuellement époustouflante et narrativement audacieuse, qui ravira les amateurs de littérature et de bande dessinée.


La Fiancée

Album publié en 2024 aux éditions Mécanique Générale.


Résumé éditeur

Adapté de l’œuvre « Le Dibbouk » de Shalom Anski publiée 1918.

Une petite bourgade juive de l’Ukraine du XIXe siècle.

La jeune Léa, en âge de se marier, n’a d’yeux que pour Khonen, un étudiant talmudiste doué. Son riche père, qui lui cherche un gendre dans les affaires, lui a cependant choisi un homme qu’elle n’a jamais vu de sa vie. Mais le jour du mariage, scandale : Léa est possédée par une âme errante, un dibbouk !

Sender est mort de honte : sa fille, pourtant si pure… et le mariage qui risque d’être annulé ! Il ne lui reste plus qu’à l’emmener chez le grand Rebbé Azriel, chasseur de dibbouks. Si un esprit hante un vivant, c’est la conséquence d’une injustice ou d’une mauvaise action.

Qu’a donc pu faire cette jeune fille ? Est-elle seulement la coupable ? Et que veut ce Meshulekh, qui semble savoir des choses qui échappent au commun des mortels ?

Le destin de Léa ne va pas s’arrêter aux limites dans lesquelles cette histoire l’a enfermé !


L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « La Fiancée »

La BD sortie fin aout 2024. Un avis sera posté quand elle sera lue.

L’Enfer Bleu – Tome 1

Album publié en 2024 aux éditions Paquet.


Résumé éditeur

couverture bd L'Enfer Bleu - Tome 1

Alberto, un jeune homme de 19 ans sans expérience du combat ni tendances politiques, décide de s’engager volontairement dans la Division bleue, cherchant à vivre ce qu’il considère comme une grande aventure.

S’imaginant participer à la victoire rapide de l’Allemagne sur l’Union soviétique, il se heurte brusquement à la dure réalité d’un conflit prolongé et brutal au milieu de l’hiver le plus rigoureux du XXe siècle.


Ce récit s’appuie sur les expériences authentiques d’Alberto, membre du 2e bataillon du régiment Esparza, le célèbre bataillon romain.

Au fur et à mesure que la guerre progresse, Alberto devient un personnage essentiel, servant de lien fiable avec le commandant et de témoin clé de nombreuses batailles sur le front de Volkhov.


L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « L’Enfer Bleu – Tome 1 »

La bd n’a pas encore été lue. Elle sortira en librairie le 21 aout 2024.